Après Saumon Québec hier sur nos ondes, le débat se poursuit autour de l’empiètement et la circulation sur le lit de la rivière à saumon Petit-Pabos à Chandler. C’est maintenant au tour de la Ville de Chandler de s’exprimer et qui mise sur la sensibilisation plutôt que la répression comme plusieurs acteurs le suggèrent.
Au tour donc du conseiller Pierre-Luc Arsenault, de mettre les choses en contexte, lui qui siège en qualité d’observateur au nom de la Ville au sein du c.a de la ZEC Pabok, responsable des trois rivières que sont la Grand Pabos Nord, la Grand Pabos Ouest et la Petit-Pabos. On peut l’entendre.
S’il est bien conscient de la problématique et qu’il refuse le statu quo, il estime que le fait de légiférer n’est pas la solution, pour l’heure du moins
M. Arsenault mise sur la collaboration, la concertation et la sensibilisation.
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